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Conclusion:

 

Bien que l'affaire commence en 1894, c'est véritablement en 1898 que l'affaire prend une ampleur nationale et que la presse et la France se divisent en deux.  Les antidreyfusards qui étaient composés avant tout de journaux antisémites comme le journal "Antijuif", mais aussi de journaux qui n’étaient pas explicitement antisémites comme "Psst...!".

Le camp des dreyfusards lui-aussi était composé de journaux comme "L'Aurore" qui publia l'article "J'Accuse" qui changera l'histoire de cette affaire, "Le Figaro" avec son illustrateur Caran D'Ache. C'est cette véritable bataille éditoriale qui poussera l’Etat Français à retrouver le vrai coupable, Esterhazy.

Donc, en réponse à la problématique, on peut dire que la presse française était dreyfusarde et antidreyfusarde, mais que chacun des deux partis à dominé l'autre durant l'affaire, avec une forte présence des antidreyfusards de 1894 à 1898, puis des dreyfusards de plus en plus nombreux jusqu'à la réhabilitation d'Alfred Dreyfus en 1906.

Ci-dessus le vrai traitre, le capitaine Esterhazy

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